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Dé-trumpez-vous, Marion Combelas

Je réaliserai une caricature de Donald T en direct et je proposerai aux gens qui passent par là et qui le souhaitent de s’exprimer également sur ce sujet en s’essayant à une caricature du beau jeune homme ou en usant de toute forme d’expression libre, écrite, dessinée, ou je ne sais quoi)…

Je laisserai pour ça à disposition des photos du bonhomme sur mon ordi, du papier et de quoi dessiner, soit des feuilles volantes laissées sur les tables dans le coin avec coussins, soit en mode mur de papier – kraft – accroché quelque part à côté de moi.

lieu : le 109

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Affichez-Vous, Hugues Anhes

Installations photographiques superposées et déchirées.

Tirages format 90cm de large x 3-4 m (longueur variable selon l’espace).
Technique : Collages, superpositions, déchirages.
Lieu : le grand mur du préau 420 x 300 (en face du bar, à coté de la scène ghetto et/ou un mur de demi étage dans l’escalier de béton 270 x260.

Lien vers le projet
Lien vers le site de Hugues Anhes
Pour Contacter Hugues : info[arobase]huguesanhes[point]com

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SIMPLE PROJET 2000-2016 // Réactivation n°10

un projet / http://un-projet.net/simple/simple%2001.html

« Le concept est simple, il s’agit d’une structure, modulaire, architectonique, née de l’esprit. Cette sculpture, réalisée in situ, peut néanmoins s’inscrire en différents endroits, elle y sera à chaque fois construite et détruite selon un même principe. Les matériaux peuvent changer à loisir, bois ou carton, bambou ou raphia peu importe. Seules contraintes : respecter la forme et ses cotes telles qu’elles ont été déterminées au départ, et garder, sur certaines de ses tranches, la couleur orange fluorescent qui projette une luminosité évanescente sur le sol. Dans ce contexte, la pièce sera donc toujours recréée selon un même modèle, et pourtant jamais vraiment identique. »

Technique : à définir….
Besoins d’espace : BOL environ 20 à 25 m2
Besoin techniques : outillage léger + matériel de recup (bois, carton, plastique, emballages…

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Agglor, monnaie locale complémentaire, Collectif pour la libération de la monnaie

Une exposition d’agglors commentés, un atelier de fabrication d’Agglor,  un espace d’échange d’agglors, des témoignages audios et des notices pour les professionnels qui souhaitent utiliser cette monnaie.

Lieu : accueil du 108

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Renaissance, Marine Pellerin

Solo de danse

Technique : deux projos (on aura) diffusion musique
Besoins d’espace : une salle
Besoin techniques : papier

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Palmyre, Pierre Feller

Vidéo en images de synthèse, tramée et aux couleurs indexées, boucle de 2min42. Muet.

On survole Palmyre (la ville antique Syrienne) et Tadmor (la ville moderne qui la jouxte de nos jours). Les vestiges nous sont indistincts, on traverse les nuages, on croise un drone et un pick-up.

Technique : Vidéoprojection.
Besoins d’espace : Salle et pénombre. Un grand mur si gros VP ! Pas trop de boucan, qu’on s’aperçoive que c’est muet.
Besoin technique : J’ai un petit VP à led, projection de 1,5 à 2 mètres de large maxi, mais noir complet requis. Je préfèrerai un VP plus costau, le mien manque de piqué et de lumens. Besoin d’un lecteur qui supporte une boucle un chouille épaisse, parce que la vidéo est peu compressée (200mo) pour qu’on y vois une belle trame (j’ai plusieurs versions différemment compressées au cas z’où).
La Labomedia devrait avoir ce qu’il te faut !

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Refused Party Program

Punk Hardcore contemporain pour adpater le titre Tannhäuser / Derivè tiré du mytique album « the shape of punk to come » de Refused
Auteurs : yel fox (danse), christine desfeuillet (danse), emeline graizeau (violoncelle), géraldine moskovik (violon), marcello moskovik (batterie), victor jorge (basse)

Besoins d’espace : beaucoup, La salle de l’esad du haut serait nickel
Besoins techniques : une sono (possible d’être autonome, à verif), 3 amplis (autonomes)
de la prise à gogo, 2 lights sans gelates (prêtés)

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L’évier, Sandrine Leturcq

Diptyque de courts-métrages (13’56, 2017)
Un film écrit et réalisé par Sandrine Leturcq
Deux scénarii pour un même plan fixe
Tournage < 2 heures.

Mains : Evelyne Coudert, Elisabeth de Temmerman, Charlotte Gaillet.
Voix hors champ : Evelyne Coudert, Gérard Coudert, Philippe Coudert, Julien Crosnier, Charlotte Gaillet, Elisabeth de Temmerman, avec la participation d’Antone & de Léonne.

Deux concepts se sont greffés pour initier ce diptyque de courts-métrages.

L’idée de départ est simple : utiliser le minimum pour suggérer le maximum. C’est la raison pour laquelle j’utilise :

Comme seul décor : un évier et sa vaisselle sale.
Comme seuls personnages : des mains et des voix hors champ.

De fait, le spectateur doit deviner ce qui se joue hors champ, cette courte incursion dans la vie quotidienne des gens.

Le plan fixe permet aussi de se focaliser sur les informations visuelles et auditives divulguées, et non sur le jeu des acteurs, leur apparence, l’expression de leur visage, le décor, si ce n’est à travers les dialogues.

Le choix de l’évier n’est pas anodin. Il est ici l’indice du nombre de personnes au foyer, voire de leur niveau social.

De même, l’activité quotidienne de faire la vaisselle, de l’essuyer ou non et de nettoyer l’évier, est elle-même extrêmement révélatrice de la personnalité de celui ou de celle qui la fait.

Les mains enfin constituent un blason fort d’un personnage : elles signalent en général son sexe, voire son hygiène de vie, sa catégorie professionnelle, mais surtout son âge. Contrairement à un visage qui peut paraître plus jeune, elles ne mentent pas.

La seconde idée est d’user d’un procédé connu, qui est de réutiliser les images en leur faisant raconter une histoire différente : deux scénarii différents sont donc proposés avec les mêmes images, mais pourquoi pas d’autres…

Scénario 1 :

Cette mise en scène va permettre de valoriser un drame familial, sans tomber dans le mélo.
Si les trois personnages qui se succèdent à l’évier sont exclusivement féminins, ce n’est pas tant pour rappeler que cette tâche ménagère fut longtemps dévolue aux femmes, ce qui n’est plus vrai actuellement, que pour évoquer la ligne directe transgénérationnelle de ces trois mères, sur qui repose un sentiment de responsabilité lié à l’enfantement auquel s’ajoute dans ce drame un lourd sentiment de culpabilité. Les hommes, ici, souffrent de leur impuissance à déjouer la loi implacable de la progression d’une maladie, qui les amènent finalement à en être les victimes collatérales, et seul leur amour peut les aider à le supporter.

Cette tâche ménagère est d’ailleurs ici moins une corvée qu’un prétexte pour cacher ses sentiments, pour ne pas s’exposer aux regards d’autrui, voire de fuir la discussion en cours.
Le plan fixe sur lequel est axé le court-métrage (l’évier) évoque ce même drame, ce même roc inéluctable auquel se heurte la vie de trois personnages, qui, chacun, l’apprennent à un stade différent de leur vie, et, par là, réagissent diversement, la première pensant plus à ses enfants et ses petits-enfants à qui elle laisse ce fardeau qu’à elle-même, la seconde refusant, niant la maladie, la dernière choisissant de vivre pleinement avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, mais comme tout un chacun. Le personnage principal, Nathalie, apparaît dans les trois séquences, mais ses mains ne sont visibles que dans la dernière, celle où elle a fait justement son choix, le plus difficile, que sa grand-mère et sa mère n’ont pas eu à faire, celui de décider d’avoir un enfant en connaissance de cause. Or, ce que ne comprennent pas les membres de sa famille, c’est que son choix ne porte ni sur son intérêt propre, le désir de maternité, ni sur l’insouciance d’avoir un enfant qui lui-même sera porteur ou non du gêne, et le saura suffisamment tôt pour éventuellement faire des reproches à sa mère, ou du moins vivre dans cette angoisse. Son choix porte sur le désir de vivre pleinement, advienne que pourra, la mort étant toujours la conclusion de cette vie à plus ou moins long terme, que l’on meure de cette maladie ou d’une autre cause.

Scénario 2 :

Même plan fixe, même mains, mais en fond sonore, c’est une toute autre histoire. Ce sont toujours les mêmes mains, le même processus, avec à la fin le petit pot.

Ce n’est plus un drame familial, mais une comédie loufoque, sur l’absence de partage des tâches ménagères, avec la cuisine en métaphore filée dans les dialogues.

Marceline fait la vaisselle, tandis que son mari est interrogé par deux policiers. Il leur raconte toute la vérité sur l’affaire : alors qu’il rentrait tard d’une soirée bières foot avec des copains, il a découvert que sa femme avait oublié de faire la vaisselle. Furieux, il a profité qu’elle soit profondément endormie pour l’enfermer dans le congélateur. Une coupure de courant est intervenue la veille, quelques jours après les faits… En sortant, Marie n’a mis que quelques heures pour décongeler entièrement. Elle a repris ses esprits en mangeant quelques cornets d’amour, pour éviter tout choc thermique. Le midi, elle a préparé le repas pour sa petite-fille Léa qui venait leur rendre visite ce jour-là. C’est Léa, à qui elle a tout raconté, qui a eu le culot de contacter la police après le dessert. Les policiers demandent à Marceline, si elle a bien terminé sa vaisselle, de bien vouloir les rejoindre à table pour être interrogée à son tour.

Après une enquête minutieuse durant laquelle Marcel a été entendu, il s’est avéré qu’il n’avait pas menti et que son épouse avait bien oublié de faire la vaisselle ce fameux soir. Marceline, actuellement incarcérée, a demandé pardon à genoux en public à son mari. Par ailleurs, toute sa famille a présenté ses excuses à Marcel pour le comportement de Marceline. Toute, sauf Léa.

Léa fait la vaisselle. A ses parents qui s’étonnent de la voir faire la vaisselle alors qu’ils viennent d’offrir un lave-vaisselle au grand-père, elle leur apprend qu’il est déjà en train de tourner. Son père s’étonne alors de ne pas avoir vu Marcel. Brigitte s’écrie qu’il y a pourtant de la boue dans le couloir, c’est qu’il a dû rentrer de sa promenade matinale. Philippe remarque que les traces de boue vont jusqu’au lave-vaisselle, mais n’en repartent pas. Léa les informe placidement qu’il doit être propre maintenant… La vengeance est un plat qui se mange froid…

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A la découverte de l’origine géographique de Xul, Thomas Charmetant

Vidéo (sonore) Installée.

Trajectoire de la fin du parcours qui mène à la découverte du point géographique originale du phénomène Xul.
Le choix de la région orléanaise pour l’événement étant une vulgaire (mais absolument nécessaire) translation dont le cap sera dévoilé sous peu. (ou pas, ça reste à décider).

 

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TRICASTIN, Tricastin Crinon et P.Coudert à l’orgue

Performance musicale physique arrogante !

TRICASTIN is a burlesque de la reform!
TRICASTIN is a esthète de la moissonneuse-batteuse, il a chez lui Toute la collection des cassettes VHS de John Marie Béjarde (grand chorégraphe international en Suisse financièrement basons)
TRICASTIN aime la Suisse, le Luxembourg et le Panama!
Il S’y connait en danse, Il Est prêt à RETOURNER sa veste à la première occasion OÜ porter Un sac de riz with grâce.
TRICASTIN is de droite is de gauche mais c’est ringard Tous Ces clivages, lui, il is moderne tout simplement oui.
TRICASTIN is prêt à marcher sur la tête Mais par la sienne …
TRICASTIN is prêt à vous chanter la fin du monde en tortillant du cul sous les sunlights de la ainsi que des nationaux scène!
TRICASTIN aime les sourires bébêtes bien hypocrites Avec Une plume Dans la fraternité: «Allons mes enfants de l’humanisme! ».
TRCASTIN aime s’assoir sur les assises redingote … culturel
TRICASTIN adorent le dédain et la démagogie dorée, redingote with du beurre raciste dedans.
TRICASTIN is Un drôle artiste provocateur Sur de lui … un réformateur de l’humour!

Technique: 1 SONO, orgue et échantillonneurs Fournis par l’artiste.
Besoins d’espace: Une salle ous scène 3X4
Techniques: Besoin ZERO
Durée: 20 minutes et can be several REPETER foie!