Sculpture monumentale.
Rampe de skate réalisée uniquement avec des matériaux de récupération.
Un rêve a portée à la portée des indigents à roulettes.
Catégorie : Salles
Installation : Sylvain Blocquaux et Sandrine Leturcq
Conception numérique : Sylvain Blocquaux
Programmation informatique : Sylvain Blocquaux
Illustration sonore : Julien Crosnier
Infirmiers : Sylvain Blocquaux et Sandrine Leturcq
Captation vidéo : Alexis
Sur une idée initiale de mise en scène de Sandrine Leturcq, à partir du conte Le Plafond de Jacques Sternberg
Principe : un visiteur xulien à la fois
Lieu : D5 ou D1
Durée de l’expérience : 10 minutes
Le noyau si profond et si ancien
Est encore traversé de rivières vertes et mouvantes
Elles arrachent tout sur leur passage
Creusent et harcèlent les parois
Leurs vagues vivantes vomissent le sang des souillures
Et dégueulent le charme latent
Bientôt elles creuseront si intensément
Que tout sera à vif
Et que chacun en sera écœuré
Voulant fuir à tout prix
Des rouges moisissures
Qui laissent voir le blanc déchirant
Elles rejailliront en couleurs éparses
D’une beauté poignante
Mais plus personne ne sera présent
Pour voir leurs délicates métamorphoses
1er opus d’une trilogie sur l’isolement et l’ennui, Antoine pose une question simple: une vie inutile en vaut-elle une autre? Mais il pose aussi une autre question: le cinéma peut-il se contenter de belles images?
Vidéo, 23’14
Scénario et réalisation: Emmanuel Bosca
Avec: Julien Tessereau
Musique: Philippe Melnotte
« La plupart d’entre nous, se fixe quelque part et s’attribue un territoire, une
portion de l’espace pour s’y abriter. Ce lieu constitue un peu de nous mêmes,
nous permet d’être ce que l’on est, et comme on est.»
Avec Timothé Mohamed Ballo, Denis Rouilly, Sandrine Maire, Jeni Benard
L’espace
Nous recréons un « lieu à soi » dans un espace non conventionnel. Telle une fenêtre ouverte sur l’intérieur, nous rendons visible ce qui, habituellement ne l’est pas.
Collectivement, nous concevons une scénographie recomposée à partir d’un mobilier.
Chaque participant apporte un meuble, un objet de son espace privé. Tous ces objets rassemblés constituent l’espace de la création chorégraphique.
Le mouvement
Nous réinventons la relation à notre domicile en puisant dans les énergies liées à cet espace ; de l’activité vers le repos, de la tension vers de la détente.
C’est à partir d’un espace domestique que nous choisissons de créer une danse basée sur un langage chorégraphique partagé.
Nous travaillons sur la mécanique du corps grâce aux mouvements qui s’accomplissent lors des activités courantes. Nous les transformons en acte chorégraphique en jouant sur des situations physiques d’être, d’agir. Nous composons ensemble, une danse où tout le monde peut se reconnaître, s’identifier, se retrouver…
Durée : 20 minutes
Musique : Ayato
Besoins techniques : une table, 4 chaises, et différents objets du quotidien.
Une système de diffusion du son
Lien vers la compagnie Éponyme ici
« Oui alors je ne peux pas être là aujourd’hui parce qu’il y a le départ du Vendée Globe aux Sables . . . allo tu m’entends ?
Oui donc on m’a piqué mon parasol mais je voulais vous dire « break a leg » comme ils disent, les Glaouches . . . allo ?
Ah mais vous êtes dans le couloir, là ? Ah bon ? Vous faites ça dans le couloir ?
Carrément ?
Oui oui, je suis suis aux Sables je te dis . . . c’est moi qui ai pris la photo, même.
Mais alors vous allez le faire dans le couloir, du coup ?
Et Yves, pas trop foireux son truc ?
Mais vous alors vous le faites vraiment dans le couloir ? Sans déconner ? »
Thomas Charmetant a créé une pièce sonore spécialement pour Xul : Il s’agit d’une conversation téléphonique entre deux personnes qui ont du mal à se comprendre. On n’entend qu’un seul des deux interlocuteurs. Entre private jokes, informations manquantes (on n’entend qu’une partie du dialogue), bruits parasites cette pièce sonore nous mène en bateau. On distingue des noms, la discussion a l’air de traiter de Xul, de artistes/amis qui y participent. mais ce coup de fil a t’il vraiment existé ou est il issu d’un travail de montage?
J’aurais tellement vous être avec vous
Lien
http://thomas.charmetant.free.fr/
Voilà 12 ans que le téléchargement illégal est devenu un usage courant
pour beaucoup d’internautes et il se pourrait que cela dure. Est-ce bien? Est-ce mal? Ce n’est pas la question. Ce qui est intéressant par
contre c’est de prendre du recul sur ce phénomène et d’observer comment et dans quel contexte historique il est apparu.
Et lorsqu’on retrace toute l’histoire du téléchargement depuis ses
débuts et que l’on met celle-ci en parallèle avec l’histoire de
l’internet dont les prémices remontent à 1966 on s’interroge sur son
origine supposée.
Est-ce réellement le succès foudroyant de NAPSTER qui dès 1999 en
autorisant le partage de fichiers musicaux MP3 à l’échelle de la
planète, a ouvert la voie au téléchargement illégal? Est-ce que
l’origine du téléchargement ne serait-elle pas plus ancienne?
Est-ce que le téléchargement illégal a changé la donne en matière
d’accès aux contenus culturels comme les internautes le souhaitaient à
ses débuts? Quelles ont été en face les différentes réponses des
instances légales pour juguler le téléchargement illégal et quelles sont
celles à venir (HADOPI 2 en préparation)? Quels ont été leurs effets
réels?
Cette chronologie historique en cours de création nous permet déjà
d’entrapercevoir des réponses en dehors des clichés habituels sur le
phénomène.
Lien :
https://chroniquesdutelechargement2012.wordpress.com/realisations-en-cours/
Le concept de Minixul étant de présenter des projets en cours, des idées qui donneront plus tard une œuvre majeure, Annie, par ce message envoyait sa proposition.
pourquoi pas par exemple essayer de faire un streaming ambulant (cad
avec ordi et webcam en utilisant le wifi et une image basse qualité)
pendant tout l’événement – distribuer des codes d’accès streaming pour
les androids et les inviter à faire pareil – avoir des regards
multiples sur le même évenement ….
Besoin technique:
Écriture du texte au bic directement sur le mur
Un bout de mur
Salle : le BOL