Une exposition d’agglors commentés, un atelier de fabrication d’Agglor, un espace d’échange d’agglors, des témoignages audios et des notices pour les professionnels qui souhaitent utiliser cette monnaie.
Lieu : accueil du 108
Lieu :
Vidéo en images de synthèse, tramée et aux couleurs indexées, boucle de 2min42. Muet.
On survole Palmyre (la ville antique Syrienne) et Tadmor (la ville moderne qui la jouxte de nos jours). Les vestiges nous sont indistincts, on traverse les nuages, on croise un drone et un pick-up.
Technique : Vidéoprojection.
Besoins d’espace : Salle et pénombre. Un grand mur si gros VP ! Pas trop de boucan, qu’on s’aperçoive que c’est muet.
Besoin technique : J’ai un petit VP à led, projection de 1,5 à 2 mètres de large maxi, mais noir complet requis. Je préfèrerai un VP plus costau, le mien manque de piqué et de lumens. Besoin d’un lecteur qui supporte une boucle un chouille épaisse, parce que la vidéo est peu compressée (200mo) pour qu’on y vois une belle trame (j’ai plusieurs versions différemment compressées au cas z’où).
La Labomedia devrait avoir ce qu’il te faut !
Punk Hardcore contemporain pour adpater le titre Tannhäuser / Derivè tiré du mytique album « the shape of punk to come » de Refused
Auteurs : yel fox (danse), christine desfeuillet (danse), emeline graizeau (violoncelle), géraldine moskovik (violon), marcello moskovik (batterie), victor jorge (basse)
Besoins d’espace : beaucoup, La salle de l’esad du haut serait nickel
Besoins techniques : une sono (possible d’être autonome, à verif), 3 amplis (autonomes)
de la prise à gogo, 2 lights sans gelates (prêtés)
Diptyque de courts-métrages (13’56, 2017)
Un film écrit et réalisé par Sandrine Leturcq
Deux scénarii pour un même plan fixe
Tournage < 2 heures.
Mains : Evelyne Coudert, Elisabeth de Temmerman, Charlotte Gaillet.
Voix hors champ : Evelyne Coudert, Gérard Coudert, Philippe Coudert, Julien Crosnier, Charlotte Gaillet, Elisabeth de Temmerman, avec la participation d’Antone & de Léonne.
Deux concepts se sont greffés pour initier ce diptyque de courts-métrages.
L’idée de départ est simple : utiliser le minimum pour suggérer le maximum. C’est la raison pour laquelle j’utilise :
Comme seul décor : un évier et sa vaisselle sale.
Comme seuls personnages : des mains et des voix hors champ.
De fait, le spectateur doit deviner ce qui se joue hors champ, cette courte incursion dans la vie quotidienne des gens.
Le plan fixe permet aussi de se focaliser sur les informations visuelles et auditives divulguées, et non sur le jeu des acteurs, leur apparence, l’expression de leur visage, le décor, si ce n’est à travers les dialogues.
Le choix de l’évier n’est pas anodin. Il est ici l’indice du nombre de personnes au foyer, voire de leur niveau social.
De même, l’activité quotidienne de faire la vaisselle, de l’essuyer ou non et de nettoyer l’évier, est elle-même extrêmement révélatrice de la personnalité de celui ou de celle qui la fait.
Les mains enfin constituent un blason fort d’un personnage : elles signalent en général son sexe, voire son hygiène de vie, sa catégorie professionnelle, mais surtout son âge. Contrairement à un visage qui peut paraître plus jeune, elles ne mentent pas.
La seconde idée est d’user d’un procédé connu, qui est de réutiliser les images en leur faisant raconter une histoire différente : deux scénarii différents sont donc proposés avec les mêmes images, mais pourquoi pas d’autres…
Cette mise en scène va permettre de valoriser un drame familial, sans tomber dans le mélo.
Si les trois personnages qui se succèdent à l’évier sont exclusivement féminins, ce n’est pas tant pour rappeler que cette tâche ménagère fut longtemps dévolue aux femmes, ce qui n’est plus vrai actuellement, que pour évoquer la ligne directe transgénérationnelle de ces trois mères, sur qui repose un sentiment de responsabilité lié à l’enfantement auquel s’ajoute dans ce drame un lourd sentiment de culpabilité. Les hommes, ici, souffrent de leur impuissance à déjouer la loi implacable de la progression d’une maladie, qui les amènent finalement à en être les victimes collatérales, et seul leur amour peut les aider à le supporter.
Cette tâche ménagère est d’ailleurs ici moins une corvée qu’un prétexte pour cacher ses sentiments, pour ne pas s’exposer aux regards d’autrui, voire de fuir la discussion en cours.
Le plan fixe sur lequel est axé le court-métrage (l’évier) évoque ce même drame, ce même roc inéluctable auquel se heurte la vie de trois personnages, qui, chacun, l’apprennent à un stade différent de leur vie, et, par là, réagissent diversement, la première pensant plus à ses enfants et ses petits-enfants à qui elle laisse ce fardeau qu’à elle-même, la seconde refusant, niant la maladie, la dernière choisissant de vivre pleinement avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, mais comme tout un chacun. Le personnage principal, Nathalie, apparaît dans les trois séquences, mais ses mains ne sont visibles que dans la dernière, celle où elle a fait justement son choix, le plus difficile, que sa grand-mère et sa mère n’ont pas eu à faire, celui de décider d’avoir un enfant en connaissance de cause. Or, ce que ne comprennent pas les membres de sa famille, c’est que son choix ne porte ni sur son intérêt propre, le désir de maternité, ni sur l’insouciance d’avoir un enfant qui lui-même sera porteur ou non du gêne, et le saura suffisamment tôt pour éventuellement faire des reproches à sa mère, ou du moins vivre dans cette angoisse. Son choix porte sur le désir de vivre pleinement, advienne que pourra, la mort étant toujours la conclusion de cette vie à plus ou moins long terme, que l’on meure de cette maladie ou d’une autre cause.
Même plan fixe, même mains, mais en fond sonore, c’est une toute autre histoire. Ce sont toujours les mêmes mains, le même processus, avec à la fin le petit pot.
Ce n’est plus un drame familial, mais une comédie loufoque, sur l’absence de partage des tâches ménagères, avec la cuisine en métaphore filée dans les dialogues.
Marceline fait la vaisselle, tandis que son mari est interrogé par deux policiers. Il leur raconte toute la vérité sur l’affaire : alors qu’il rentrait tard d’une soirée bières foot avec des copains, il a découvert que sa femme avait oublié de faire la vaisselle. Furieux, il a profité qu’elle soit profondément endormie pour l’enfermer dans le congélateur. Une coupure de courant est intervenue la veille, quelques jours après les faits… En sortant, Marie n’a mis que quelques heures pour décongeler entièrement. Elle a repris ses esprits en mangeant quelques cornets d’amour, pour éviter tout choc thermique. Le midi, elle a préparé le repas pour sa petite-fille Léa qui venait leur rendre visite ce jour-là. C’est Léa, à qui elle a tout raconté, qui a eu le culot de contacter la police après le dessert. Les policiers demandent à Marceline, si elle a bien terminé sa vaisselle, de bien vouloir les rejoindre à table pour être interrogée à son tour.
Après une enquête minutieuse durant laquelle Marcel a été entendu, il s’est avéré qu’il n’avait pas menti et que son épouse avait bien oublié de faire la vaisselle ce fameux soir. Marceline, actuellement incarcérée, a demandé pardon à genoux en public à son mari. Par ailleurs, toute sa famille a présenté ses excuses à Marcel pour le comportement de Marceline. Toute, sauf Léa.
Léa fait la vaisselle. A ses parents qui s’étonnent de la voir faire la vaisselle alors qu’ils viennent d’offrir un lave-vaisselle au grand-père, elle leur apprend qu’il est déjà en train de tourner. Son père s’étonne alors de ne pas avoir vu Marcel. Brigitte s’écrie qu’il y a pourtant de la boue dans le couloir, c’est qu’il a dû rentrer de sa promenade matinale. Philippe remarque que les traces de boue vont jusqu’au lave-vaisselle, mais n’en repartent pas. Léa les informe placidement qu’il doit être propre maintenant… La vengeance est un plat qui se mange froid…
Vidéo (sonore) Installée.
Trajectoire de la fin du parcours qui mène à la découverte du point géographique originale du phénomène Xul.
Le choix de la région orléanaise pour l’événement étant une vulgaire (mais absolument nécessaire) translation dont le cap sera dévoilé sous peu. (ou pas, ça reste à décider).
Performance musicale physique arrogante !
TRICASTIN is a burlesque de la reform!
TRICASTIN is a esthète de la moissonneuse-batteuse, il a chez lui Toute la collection des cassettes VHS de John Marie Béjarde (grand chorégraphe international en Suisse financièrement basons)
TRICASTIN aime la Suisse, le Luxembourg et le Panama!
Il S’y connait en danse, Il Est prêt à RETOURNER sa veste à la première occasion OÜ porter Un sac de riz with grâce.
TRICASTIN is de droite is de gauche mais c’est ringard Tous Ces clivages, lui, il is moderne tout simplement oui.
TRICASTIN is prêt à marcher sur la tête Mais par la sienne …
TRICASTIN is prêt à vous chanter la fin du monde en tortillant du cul sous les sunlights de la ainsi que des nationaux scène!
TRICASTIN aime les sourires bébêtes bien hypocrites Avec Une plume Dans la fraternité: «Allons mes enfants de l’humanisme! ».
TRCASTIN aime s’assoir sur les assises redingote … culturel
TRICASTIN adorent le dédain et la démagogie dorée, redingote with du beurre raciste dedans.
TRICASTIN is Un drôle artiste provocateur Sur de lui … un réformateur de l’humour!
Technique: 1 SONO, orgue et échantillonneurs Fournis par l’artiste.
Besoins d’espace: Une salle ous scène 3X4
Techniques: Besoin ZERO
Durée: 20 minutes et can be several REPETER foie!
Sur Expositions a pour projet d’interroger artistiquement le fait « exposition » et d’en jouer.
Qu’est-ce qu’une exposition ? Quelles en sont les limites, les paradoxes, les vices ?
Le projet est constitué de trois phases composées chacune d’une douzaine de surœuvres, installées dans un espace spécifiquement choisi et mis en scène.
Chaque phase de Sur Expositions ira « titiller » un thème majeur :
l’absence (le rien).
(il ne s’agira pas de rechercher une représentation du « rien », mais de sa présentation
pour ce qu’il en est.)
le cadre (les cadres).
(il sera proposé d’y entrer pour en sortir.)
la marchandisation de l’art.
(tentative pour dé-marché l’art.)
La phase 1 – Rien – L’absence est à la plastique ce que le silence est à la musique
sera annoncée et présentée comme une exposition. Et réalisée dans un lieu recevant
habituellement des expositions. Ce sera un travail artistique global et personnel réalisé par Raymond Duval.
La phase 2 – Dans le cadre … – Léonard de Vinci n’a jamais pu encadrer Mona Lisa
phase intermédiaire et de transition – sera annoncée et présentée comme une exposition.
Réalisée par un petit groupe d’artistes et présentée sous forme de visites guidées-
performances, elle permettra une interrogation artistique des limites et structures de l’œuvre plastique.
La phase 3 – ARTNAC – L’art qui vous fait marché
sera annoncée et présentée comme une expovente d’art contemporain. Avec organisation
(plus ou moins fictive) d’une vente aux enchères internationale. La participation d’artistes d’arts divers et de groupes de personnes d’horizons variés sera le premier pas vers une réappropriation collective de l’art (dit) contemporain.
Chaque phase jouera avec l’espace dans lequel elle s’intégrera. Elles nécessiteront donc un temps d’adaptation à cet espace.
Chaque Sur Expositions sera « supervisée » par une « présence humaine». Cette dernière sera en lien avec la Sur Expositions. Notamment dans la phase 3, qui mettra en jeu un travail collectif très ouvert.
Ce projet est coordonné par Jean-Luc Bayard de la Cie Fol Théâtre, avec le soutien des
Arteliers, du 108, des Halles Châtelet et de …. (La Recyclerie, FRACAMA,?)
La préparation consistera dans un premier temps à la prise de contact et à l’engagement dans le projet des divers participants. A partir d’octobre 2016 des réunions de concertation et de travail seront organisées.
La présentation au public est envisagée courant avril-mai 2017.
La durée effective de chaque phase sera à évaluer lors de la préparation. (disons huit à quinze jours en première estimation.)
La recherche de financement se fera sur trois axes : subventions, financement participatif et surtout produits artistiques dérivés.
Contact pour ce projet : Jean-Luc Bayard jlbayard[arobase]sfr.fr
– Lasagnes,
– soupe
– gâteaux (végétalien)
– galette bretonne,
– légumes
– couscous de quinoa …
– Lucile H. (dispo le vendredi 3 mars après-midi et le samedi 4 mars toute la journée et soirée)
– Buz
– Sammy
– Lucie C
– Marek Z
– Vince A
https://framadate.org/Bs5NJfqKZlvwuZSf
Où : sous le préau
https://framadate.org/z78mDx3VMRfKfyJP
– JLB
– Lucie C
– Marek Z
– Jérôme D
– Mélanie M
– Fût de bière peut être brasseur de Mardié ambré blond (Buz)
– Cubis de rouge ( Dange via Buz ? )
– Cubis de blanc
– Jus de fruits Locaux ( Philippe )
-Thés (Des vrais, pas de la poussière industrielle) (Philippe).
Où : Chafouin
Qui cuisine : Sammy, Vince, Charlotte
Prix de vente : 2,50 euros le bol.
J’ai suivi une recette, il faut que je la retravaille, le coriandre en poudre n’a aucun goût (le frais est indispensable), et puis un peu trop de patate, l’ail sera à ajouter à la dernière minute aussi (il faudra tester néanmoins), c’est à base de carotte et d’orange.
Il faudra nécessairement un mixeur…
https://framadate.org/mRvdqN9sT3lYhB2a
– Florence P
– Jérôme D
– Vincent A
On part sur le pactole amassé à force de Xuls : 1036
– Jus de fruit des chatons : 4 bouteilles ( à payer)
– location de matériel pour Avant la neige et Renaissance : 72 euros
– location bols assiettes, couverts etc… à la ressourcerie : 50 euros
– défraiements pour ceux qui le désirent et viennent de loin : Nocturne (Nantes), Hugues (Paris), Kathy et Ivan (Paris), Quentin (Bourges), Yves (St Étienne), Samy (Tours).
– remboursement impression des photos (Hugues) : 195 euros
– remboursement des peintures pour BBnC : 130 euros ?
– remboursement de la sono pour le 108 : 240 euros ?
– remboursement du fond de caisse pour l’Amipo : 100 euros ( à payer)
– fond de caisse : 110 euros
– réunion apéro du 31 janvier : 60 euros
– jus de fruits : 30 euros
– défraiement Nocturne : 150 euros
– Achats cuisine et soupe : 360 euros
– Bières et vin : 1052
– remboursement impression des photos (Hugues) : 195 euros
– remboursement des peintures pour BBnC : 130 euros ?
– remboursement de la sono pour le 108 : 240 euros ?
– remboursement du fond de caisse pour l’Amipo : 100 euros ( à payer)
– bar et bar à soupe : 2200 euros
Au Final : – 97 euros