Live de synthèse modulaire
(Salle 3)
Auteur/autrice : JuxuL
Générique, Olivier Morvan
Saint Lunaire, Yo Landry
projection de vidéos
plik de Julien Crosnier
ultra court métrage de 2017
durée totale du film (avec générique) : 01:07
Court résumé :
plok
pssssssssssssssssshhhhhhhtttttt
plok
plok
là il y a un poisson qui passe
plik
Obsession de Daniel Caspar
Les origines géographiques de Xul, Thomas Charmetant
De l’inanité … JLB
Retour, Natalia
Loopfoxloop, Paul Laurent, Shoï, Yel Fox
Improvisation musicale spatialisée et immédiate
Orchestre de haut parleur
salle D3
J’ai horreur du vide#2, Buse
Les dernières gouaches poska@ sur bois MDF® de Buz
Exposition vente au bar
Plus jamais ça ! Gaziel et Julien Weiss
Avertissement : les enfants, les personnes sujettes à la claustrophobie ou en mauvaise santé respiratoire doivent être accompagnées. L’œuvre peut choquer la sensibilité de certain-e-s
La transformation de l’ascenseur en simulation de four crématoire a pour objet de confronter le public à l’inéluctable, au malaise. au caractère inarrêtable ainsi qu’à l’horreur du procédé choisi par les Nazis pour mettre en action leur sordide projet. Cette œuvre n’est en rien une ode à la solution finale mais plutôt un memento mori s’appuyant sur le devoir de mémoire et le traumatisme universel causé par ce crime contre l’humanité.
Le public est donc partie prenante de l’œuvre. Il est mis devant un choix : s’il veut prendre l’ascenseur il est obligé de rentrer dans cet espace qui le met mal à l’aise, sinon s’il veut se déplacer, il prend l’escalier, cette fuite (assimilable à la survie) lui coûte de l’énergie. L’œuvre pousse au paroxysme le malaise jusqu’ à l’obligation pour le public à mobilité réduite à passer par l’ascenseur.
Il est intéressant de noter que le démarrage chaotique de l’installation peut en soit devenir une œuvre. Plusieurs obstacles se dressent devant cette œuvre, le premier fût peut être moi même, je n’ai pas assez anticipé et fait de la médiation en amont, le deuxième est la réaction que l’œuvre a pu susciter avant même son installation. Un phénomène de rejet et un jugement se déclenchent rapidement chez certains interlocuteurs.
Au détour de conversations sur la mise en place du projet il est apparu qu’aujourd’hui traiter de la Shoah était certainement devenu un tabou plus fort peut être même que celui de la mort.
Il m’a aussi été conseillé d’accoler un organisme à l’œuvre pour obtenir une caution intellectuelle. Cette dernière réflexion pose ainsi la question de la nécessité à justifier de sa légitimité pour proposer une œuvre traitant de la Shoah.
Julien WEISS
Performance méditative
Diffusion d’un film expérimental+ récit poétique de Victor Hugo + final danse derviche
20h30 -21h en salle C11.
Conférence gesticulée
Durée 1h30 environ, puis causerie
Bienvenue à la grande compétition de la vie, à travers mon parcours de jeune sportif judoka puis d’entraîneur/éducateur, je vous propose une immersion incarnée dans les coulisses de la fabrique à champion. Nous slalomerons entre les expériences, sauterons par dessus les idées reçues, balayerons devant les portes des institutions pour combattre et défendre une autre vision de la société.
Détruire, dit-elle, Aude Mahu
5 diptyques de 16×16 cm accompagnés d’un livret particulièrement abîmé.
Une série photographique écrite comme le meilleur de la chanson française : de beaux accords répétitifs, des sentiments vrais mais pas trop et une voix à demi juste parce qu on y gagne en crédibilité.
La Comédie humaine et Benjamin Biolay peuvent se rhabiller. Pour ceux qui ne supporteront pas ces deux termes accolés dans une même phrase, vous pourrez sans doute me trouver au bar pour en découdre.
A.M
Besoins techniques :
– 1 mini mur
– 1 mini table pour mettre le livret à disposition